Sydney - Nouvelle-Galles du Sud - Australie - 10 jours ♥♥♥
(14 juillet: Joyeux Anniversaire Olive !!!
Nous pouvons enfin mettre en ligne notre texte d'Australie mais toujours pas nos photos... Cela en raison de la connexion internet médiocre et aléatoire sur la Nouvelle Calédonie!!! Très bientôt nous l'espérons... En attendant, bonne lecture!!!).
Le voyage, c'est beaucoup de découvertes, bien sûr, et c'est aussi beaucoup de surprises!
On se fait une idée sur une destination et la réalité est rarement conforme à nos projections. C'est ce qui nous est arrivé une fois de plus en prenant le temps de découvrir Sydney.
Voilà une ville qui a su nous séduire au fur et à mesure que nous arpentions ses rues et ses parcs et que nous prenions le pouls de la vie dans cette capitale touristique et culturelle de l'Australie.
Nous n'aurons pas été dépaysés par l'atmosphère très british qui y règne après 15 jours passés en Nouvelle Zélande. Evidemment, on a toujours un peu de mal à se plier aux horaires précoces des magasins et des restaurants, nous qui étions plus à l'aise au Costa Rica ou en Argentine. Mais malgré ces petits ajustements, nous avons pleinement apprécié à la fois la diversité culturelle et le contact avec la nature (terrestre et maritime) qu'offre cette métropole.
C'est ainsi que nous avons beaucoup aimé l'aquarium géant (où l'on peut observer les dents des requins sans craindre qu'elles nous privent d'un membre) et la vaste réserve d'animaux sauvages (où l'on apprend que les humains sont des petits joueurs à côté des insectes qui peuplent la planète qu'on se partage), tous deux au centre du port autour duquel tourne la vie de Sydney, Darling Harbour. Bon, tout ça contrevient pas mal à nos principes "développement durable", mais il faut reconnaître que notre soif d'admirer la biodiversité nous pousse parfois à adopter la solution de facilité.
Sydney c'est une multitude de beautés et richesses... Son opéra qui représente les voiles d'un bateau et qui semble bâti sur l'eau. Un projet titanesque et avant-gardiste, imaginé par un finlandais, qui est sorti de terre avec 25 ans de retard mais qui garde pas mal d'avance sur beaucoup de bâtiments plus récents. Notre guide était à la fois passionné et plein d'humour, ce qui rendit la visite très agréable.
Un petit détour par le marché aux poissons dont les horaires ne correspondaient malheureusement pas assez aux nôtres (encore!) pour qu'on arrive à y prendre un déjeuner. Un petit coup de jardin chinois, qui tente de créer un havre de paix au milieu du tumulte urbain.
Et bien sûr quelques heures à Bondi Beach, plage mythique à l'ambiance californienne, où la fraîcheur de l'eau et de l'air n'effaie pas les nombreux surfeurs venus se mesurer aux vagues peu clémentes.
Un petit bémol quand même à cette douce ambiance à la fois urbaine, touristique et portuaire: l'état "Big Brother" qui pose ses caméras partout et encourage ses citoyens à la délation (affiches et pubs TV). Ca aussi, c'est très british, il semblerait. Pourtant, on n'a pas l'impression que les 20 millions d'Australiens intéressent beaucoup les "terroristes"! La vraie terreur n'est-elle pas celle exercée sur les aborigènes, présents depuis 40 000 ans et totalement déposssédés de leurs terres et leur culture depuis l'arrivée (et encore aujourd'hui) des européens sur ce continent? Notre rencontre et nos très longues minutes d'échange avec un aborigène nous ont donnés envie de partir à la rencontre de ce peuple... nous l'espérons lors de notre second séjour en Australie (après la Nouvelle Calédonie, fin juillet).
Nous repartons satisfaits d'avoir pris le temps de connaître cette métropole qui ne nous attirait pas a priori, et filons à Nouméa, impatients de lézarder au bord du lagon poissonneux et corallien...
Nous pouvons enfin mettre en ligne notre texte d'Australie mais toujours pas nos photos... Cela en raison de la connexion internet médiocre et aléatoire sur la Nouvelle Calédonie!!! Très bientôt nous l'espérons... En attendant, bonne lecture!!!).
Le voyage, c'est beaucoup de découvertes, bien sûr, et c'est aussi beaucoup de surprises!
On se fait une idée sur une destination et la réalité est rarement conforme à nos projections. C'est ce qui nous est arrivé une fois de plus en prenant le temps de découvrir Sydney.
Voilà une ville qui a su nous séduire au fur et à mesure que nous arpentions ses rues et ses parcs et que nous prenions le pouls de la vie dans cette capitale touristique et culturelle de l'Australie.
Nous n'aurons pas été dépaysés par l'atmosphère très british qui y règne après 15 jours passés en Nouvelle Zélande. Evidemment, on a toujours un peu de mal à se plier aux horaires précoces des magasins et des restaurants, nous qui étions plus à l'aise au Costa Rica ou en Argentine. Mais malgré ces petits ajustements, nous avons pleinement apprécié à la fois la diversité culturelle et le contact avec la nature (terrestre et maritime) qu'offre cette métropole.
C'est ainsi que nous avons beaucoup aimé l'aquarium géant (où l'on peut observer les dents des requins sans craindre qu'elles nous privent d'un membre) et la vaste réserve d'animaux sauvages (où l'on apprend que les humains sont des petits joueurs à côté des insectes qui peuplent la planète qu'on se partage), tous deux au centre du port autour duquel tourne la vie de Sydney, Darling Harbour. Bon, tout ça contrevient pas mal à nos principes "développement durable", mais il faut reconnaître que notre soif d'admirer la biodiversité nous pousse parfois à adopter la solution de facilité.
Sydney c'est une multitude de beautés et richesses... Son opéra qui représente les voiles d'un bateau et qui semble bâti sur l'eau. Un projet titanesque et avant-gardiste, imaginé par un finlandais, qui est sorti de terre avec 25 ans de retard mais qui garde pas mal d'avance sur beaucoup de bâtiments plus récents. Notre guide était à la fois passionné et plein d'humour, ce qui rendit la visite très agréable.
Un petit détour par le marché aux poissons dont les horaires ne correspondaient malheureusement pas assez aux nôtres (encore!) pour qu'on arrive à y prendre un déjeuner. Un petit coup de jardin chinois, qui tente de créer un havre de paix au milieu du tumulte urbain.
Et bien sûr quelques heures à Bondi Beach, plage mythique à l'ambiance californienne, où la fraîcheur de l'eau et de l'air n'effaie pas les nombreux surfeurs venus se mesurer aux vagues peu clémentes.
Un petit bémol quand même à cette douce ambiance à la fois urbaine, touristique et portuaire: l'état "Big Brother" qui pose ses caméras partout et encourage ses citoyens à la délation (affiches et pubs TV). Ca aussi, c'est très british, il semblerait. Pourtant, on n'a pas l'impression que les 20 millions d'Australiens intéressent beaucoup les "terroristes"! La vraie terreur n'est-elle pas celle exercée sur les aborigènes, présents depuis 40 000 ans et totalement déposssédés de leurs terres et leur culture depuis l'arrivée (et encore aujourd'hui) des européens sur ce continent? Notre rencontre et nos très longues minutes d'échange avec un aborigène nous ont donnés envie de partir à la rencontre de ce peuple... nous l'espérons lors de notre second séjour en Australie (après la Nouvelle Calédonie, fin juillet).
Nous repartons satisfaits d'avoir pris le temps de connaître cette métropole qui ne nous attirait pas a priori, et filons à Nouméa, impatients de lézarder au bord du lagon poissonneux et corallien...